L’acide urique (AU) est libéré en circulation par les cellules mourantes, p. ex. après un choc hémorragique ou en cas de cirrhose. Elle contribue à l'activation de l'apoptose et de l'inflammation d'organes, incluant le cerveau. La littérature suggère que l'AU cause une dysfonction endothéliale. L’hypothèse du projet est que l'AU affecte l'endothélium de la barrière hématoencéphalique (BHE) en altérant son étanchéité et en contribuant à l'activation neuroinflammatoire.

En réalité, depuis les années 50 déjà, des études scientifiques avaient présenté les psychédéliques comme inoffensifs dans un contexte clinique. En fait, bien au contraire, des études présentaient plutôt les effets thérapeutiques de ces drogues sur des troubles psychologiques très répandus tels que la dépression et l’addiction

Il n'existe actuellement aucun outil standard de risque de biais (RDB) pour évaluer la validité interne des revues systématiques impliquant des études d'exposition ou de fréquence. Nous avons cherché à comparer la fiabilité interévaluateur de l’outil de l’American Academy of Neurology (AAN) avec d'autres outils couramment utilisés pour les études d'exposition (SIGN50, Newcastle-Ottawa) et de fréquence (Loney, Gyorkos).

This review aims to evaluate the extent and nature of the existing literature on medical student training in eHealth. In detail, it aims to examine what this education consists of, the barriers, enhancing factors, and propositions for improving the medical curriculum. This review focuses primarily on some key technologies such as mobile health (mHealth), the internet of things (IoT), telehealth, and artificial intelligence (AI).

This review aims to evaluate the extent and nature of the existing literature on telemedicine for the care of depression by physicians. This review also aims to examine the effects and perceptions regarding this virtual care, and how it compares to traditional in-person care.

In 2020, over 151 million people globally suffer from osteoarthritis (OA) [1], the most prevalent cause of disability in older adults [2]. Presently, no treatment can reverse OA cartilage damage. Current research suggests that mitochondrial dysfunction plays a key role in OA by decreasing extracellular adenosine levels, which dysregulates chondrocyte homeostasis [1].

Parkinson’s Disease (PD) is characterized by 60-70 percent loss of dopaminergic neurons (DANs) in the substantia nigra (SNr). Therefore, the regeneration of these neurons could be a viable approach towards the treatment for PD. Previous experiments have successfully generated DANs from human induced pluripotent stem cells (hiPSC) [1].

Although the precise causes of this inflammatory demyelinating affliction remain elusive, studies strongly suggest that environmental factors causing epigenetic changes contribute to the disease [2, 3]. It has been proposed that lymphocyte DNA methylation is an important factor in its pathogenesis [2].

The negative selection of immature T-cells produced by the bone marrow requires the presentation of tissue-specific antigens (ts-ags) by medullary thymic epithelial cells (mTECs) [1]. By this process, T-cells that recognize the ts-ags receive an apoptotic signal, leading to suppression of auto-immune reactions [2]. Such reaction occurs in type I diabetes when T-cells auto-react to GAD-ags [3].

Stroke occurs in more than 60,000 Canadians every year and is the primary cause of physical disability [1]. Current treatment strategies, such as reperfusion and neuroprotective agents, are only available to a minority of patients and have limited benefits [2]. Recent clinical trials have identified stem cell therapy as a promising approach to promote neurorecovery.

Tay Sachs disease (TSD) is a rare neurodegenerative disease caused by a mutated HEXA gene [1]. The HEXA gene codes for the alpha subunit of β-hexosaminidase A, an enzyme which helps degrade GM2 gangliosides. Individuals with TSD cannot produce this enzyme, resulting in accumulation of GM2 gangliosides in neuronal cells and, subsequently, cognitive impairments and premature death [2].

Amyotrophic lateral sclerosis (ALS) is a fatal neurodegenerative disease affecting 2 per 100,000 annually in the US, making it the most common motor neuron disease [1]. A prion-like mechanism underlies this ailment, involving oxidation and structural damage of the 43-kDA TAR DNA-binding protein (TDP-43), which accumulates as protein aggregates in astrocytes [2].

La tuberculose est un exemple d’une maladie infectieuse qui a fait des ravages inimaginables dans l'histoire. Elle a été appelée "consomption", "phtisie", "peste blanche" et même "peste des pauvres".

Ladyballs is the provocative term coined by Ovarian Cancer Canada to describe ovaries with the intent of drawing attention to ovarian cancer.

Afin de démystifier le concept de grossophobie médicale et d’explorer des pistes de solutions inclusives, nous nous sommes entretenues avec la talentueuse photographe féministe et activiste anti-grossophobie, Julie Artacho. Elle nous explique :

Tandis que la diététique moderne se fonde sur l’analyse approfondie du domaine de l’infra-visible, i.e. du moléculaire, la diététique traditionnelle, à travers les diverses formes qu’elle s’est données à travers les âges, s’appuie plutôt sur des Principes transcendants le domaine visible, sensible et corporel, et par lesquels tout se manifeste.

Dans cet article, il sera question des effets biologiques de la dépression. Ces effets sont parfois la cause de la dépression ou sa conséquence et la distinction n’est pas toujours facile à faire. Parmi les facteurs biologiques de la dépression, nous aborderons le rôle de l’axe HHS; des neurotransmetteurs, tels que la dopamine, la sérotonine et la noradrénaline; de la neuroplasticité; du BDNF; et de la voie glutamatergique.